Un court texte, mais une bien belle surprise.
L’écriture de Valérie Tordjman nous emporte aux côtés de deux femmes : Alexandra Van Polder qui part en 1850 rejoindre son mari à Nagasaki et découvre cette culture à travers l’objectif de son appareil photo.
Un siècle plus tard, Sarah, sa descendante américaine, part découvrir ses origines en Europe au moment de son adolescence et elle aussi s’avère passionnée par la photographie.
Un joli texte, poétique, qui nous embarque, aux côtés de ces deux femmes et où sans s’en rendre compte, on s’attache vite à elles deux.
Souvent les textes courts sont particulièrement soignés.