Autre rendez-vous de cette rentrée le nouveau Véronique Ovaldé : » Des vies d’oiseaux ».
Et là… je reste sur ma faim.
Paloma est la fille de Vida. Paloma a disparu du domicile familial et vit avec Adolfo, un squatteur de maisons.
Commence une enquête. Vida demande à Taïbo de retrouver sa fille.
On retrouve donc comme dans « Tout ce que je sais de Véra Candida », les deux générations de femmes d’une même famille, mais qui souffrent de l’amour qu’elles ont pour les hommes.
Formule déjà utilisée, qui fonctionne, mais qui sent vraiment le déjà vu.
Le roman n’est pas mauvais, plutôt sympathique, mais je pense qu’il aurait fallu plus de temps à l’auteure, pour qu’elle écrive ce nouveau roman.
Enfin si vous voulez lire du Véronique Ovaldé, lisez plutôt ses deux précédents romans « Tout ce que je sais de Véra Candida » et » Et mon coeur transparent ».